QUALITÉ DE L’AIR INTÉRIEUR EN MILIEU TERTIAIRE : La santé dans le bâtiment
Un environnement sain dans les bâtiments tertiaires
La santé des occupants dans le bâtiment a trop souvent été délaissé au profit de la performance énergétique. La qualité de l’air intérieur commence à se démocratiser depuis une vingtaine d’années mais les actions concrètes restent encore peu nombreuses. Pourtant, la qualité de l’air intérieur coûte chère d’après un rapport du Sénat de 2015 : 19 milliards d’euros par an en France. Si l’on rapporte ce chiffre par habitant, cela correspond à 283,62 € par an et par actif à 639,73 € par an.
Aujourd’hui, PHOSPHORIS propose de remettre la santé au cœur des projets à travers la prise en compte de la qualité de l’air et du confort dans les bâtiments tertiaires : crèches, écoles, bureaux, hôpitaux et établissements de santé, centre sportif et aquatiques, musée, bibliothèque, centres d’archives.

Julie COUTEAU
Ingénieure chimiste de la Qualité de l’Air
06 49 25 87 53

La qualité de l’air, à qui s’adresse-t-on ?

Territoire |
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Bâtiments |
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Occupants / Exploitants |
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Comment prendre en compte la qualité de l’air intérieur ?
Pour prendre en compte la qualité de l’air dans un bâtiment, il faut étudier toutes les sources de pollutions à toutes les étapes de la vie d’un bâtiment afin d’agir pour limiter les émissions de polluants. Il existe 5 grands paramètres à prendre en compte en ce qui concerne la qualité de l’air intérieur d’un bâtiment quel qu’il soit :

PHOSPHORIS, en tant qu’AMO, conseille et agit pour prendre en compte ces 5 grands paramètres dans la vie d’un bâtiment afin d’améliorer la santé des occupants.
Pourquoi mesurer la qualité de l’air intérieur ?
La santé des occupants dans le bâtiment a trop souvent été délaissé au profit de la performance énergétique. La qualité de l’air intérieur commence à se démocratiser depuis une vingtaine d’années mais les actions concrètes restent encore peu nombreuses. Pourtant, la qualité de l’air intérieur coûte chère d’après un rapport du Sénat de 2015 : 19 milliards d’euros par an en France. Si l’on rapporte ce chiffre par habitant, cela correspond à 283,62 € par an et par actif à 639,73 € par an.
Aujourd’hui, PHOSPHORIS propose de remettre la santé au cœur des projets à travers la prise en compte de la qualité de l’air et du confort dans les bâtiments tertiaires :
Comment mesurer la qualité de l’air intérieur ?

Mesures Passives |
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Mesures Actives |
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Monitoring |
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Comment dépolluer l’air intérieur ?
Technique de piégeage
Filtration HEPA : Système de piégeage des molécules gaz comme les COV ou le NO2 sur un filtrat.
Filtration à Charbon Actif ou Filtre Imprégné : Transformation d’un élément électriquement neutre en ion (espèce chargée) permettant de les capter plus facilement sur des surfaces.
Ionisation / Précipitation Électrostatique : Utilisation d’une décharge électrique qui séparent les atomes de l’oxygène dans l’air et crée de l’ozone. Celui-ci réagit avec les polluants dans l’air.
Oxydation ou destruction
Ozone : Utilisation d’une décharge électrique qui séparent les atomes de l’oxygène dans l’air et crée de l’ozone. Celui-ci réagit avec les polluants dans l’air.
UV : Les rayonnements UV permettent de détruire les bactéries et certains agents pathogènes présents dans l’air en cassant l’ADN de ces organismes.
Photocatalyse : Compilation d’un catalyseur comme le dioxyde de titane et de rayonnement lumineux créant des réactions d’oxydo-réduction jusqu’à dégradation des polluants présents dans l’air.
Plasma : Minéralisation des molécules organiques au travers de réactions d’oxydation initiées par les radicaux libres produits dans un champ ionisant.
Qualité de l’air et COVID-19
Les études publiées jusqu’à présent ont permis de confirmer que l’exposition chronique (sur du long terme) à la pollution de l’air avait un rôle aggravant dans l’épidémie de COVID-19. La pollution de l’air intérieur et extérieur a un impact sanitaire important sur le système respiratoire, cardio-vasculaire, réponse immunitaire, etc. Cela a pour effet d’augmenter le risque de développer des formes graves de la COVID-19 et d’en décéder. La pollution de l’air peut donc être considérée comme un « co-facteur de morbi-mortalité par COVID-19 », selon l’Observatoire Régional de la Santé d’Ile-de-France. en savoir plus : Les enjeux liés à la qualité de l’air pendant la pandémie COVID-19
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